Farniente
Je m'enroule dans le velours de son ombre
La chaleur est douce comme un été indien
L'espace n'a pas le temps de coiffer le sombre
Le temps s'engourdit l'espace d'un instant gardien
Le vieux chêne feint de m'ignorer
Sa beauté effleure l'éternité
Et je rêve de poésies écartelées...