Fragments...

Farniente

 

Je m'enroule dans le velours de son ombre

La chaleur est douce comme un été indien

L'espace n'a pas le temps de coiffer le sombre

Le temps s'engourdit l'espace d'un instant gardien


Le vieux chêne feint de m'ignorer

Sa beauté effleure l'éternité

Et je rêve de poésies écartelées...



12/09/2010
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